dimanche 21 juin 2009

Remue-ménage.


Le titre de ce livre découvert,il y a quelques années,m'est toujours resté à l'esprit.Bien que je n'ai pas lu ce livre.Et en ce moment,je l'expérimente ds le milieu de mon travail.
Ca remue énormement en moi et à l'extérieur,car je me positionne,je cesse d'être trop gentil ,il y a des comportements qui me font mal,je laisse passer mais je m'affirme et c'est douleureux.

8 commentaires:

  1. Jz suis passée par là il y a quelques mois. Nouveau métier, nouvel environnement, nouveaux collègues. Je suis arrivée avec ma bonne volonté, ma gentillesse et l'habitude de m'excuser pour toutes les bourdes que je faisais (débutant c'était normal...). Résultat: je me suis faite piétinée, jusqu'à ce que je comprenne que parfois il s'agit de poser des limites aux autres et que je dois m'y tenir. Comme a dit un jour Daniel Morin:"ce n'est pas parce que l'on doit tendre l'autre joue qu'il faut se mettre à quatre pattes pour recevoir un coup de pied au cul!". Des limites. La bienveillance avec moi-même est passée par une protection vis à vis des gressions des autres. Après est venu le temps de l'explication, avec mes collègues et surtout avec moi-même.
    Bon courage

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  2. J'aime beaucoup ce mot que tu as choisi : "douleureux". C'est tellement, exactement ça !
    C'est une merveilleuse expérience, un beau courage à avoir, d'oser être vrai.

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  3. J'étais en retraite, mais Marie m'a dit que vous vous étiez parlé. J'espère que cela t'a aidé. N'hésites pas. Bonne chance!

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  4. "A l'intérieur tout est permis", no limits et ça dé-fou-le! Vas y!

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  5. je m'y retrouve de nouveau confronté à cette situation que tu décrit si bien ...ça fait mal mais rien que pour la joie du challenge : je trouve que ça fait du bien ( rétroactivement surtout!)

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  6. Thomas d'Ansembourg a écrit un autre livre qui se nomme qq chose comme "le bonheur n'est pas toujours confortable"
    ce n'est pas pour cela qu'il doit être douloureux ! ;-)

    Je te conseille de lire ce livre, réellement, ou "Les murs sont des fenêtres, mais peuvent aussi être des murs" (de mémoire) de Marshall Rosenberg
    car la communication non-violente est un réel outil (que j'ai expérimenté et que j'use au quotidien) qui permet de tenir compte de ses besoins, de prendre connaissance de ceux des autres et de se positionner en tant que personne responsable

    cela amène une liberté dans l'instant extraordinaire
    même si ce n'est pas toujours confortable ce n'est pas douloureux, mais au contraire ouvert sur la vie

    chaleureusement

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